1. Celui, celle qui prête son nom dans quelque acte où le véritable contractant ne veut point paraître.
Le scandale de l'agence K? prend des proportions inouïes. Ripoil, prête-nom de Fauconnier, banquier milliardaire, a glané des millions.
(Victor Méric, Les Compagnons de l'Escopette, Éditions de l'Épi, Paris, 1930, p. 230)
Traditionnellement, les organisations criminelles sont très présentes sur ce secteur, contrôlant soit des firmes par l'intermédiaire de prête-noms ou leur prélèvent des commissions.
(Hélène Sallon, « Mafia sicilienne et corruption gangrènent le Québec », LeMonde.fr, 15 octobre 2012)
Quand il posséda la maison, il eut l'habileté, en un mois, de la faire revendre deux fois à des prête-noms, en grossissant chaque fois le prix d'achat.
(Émile Zola, La Curée, 1871)
2. Un homme de paille ou prête-nom désigne une personne qui couvre de son nom les actes ou les écrits de quelqu'un d'autre. La personne ainsi protégée peut agir de manière anonyme à travers la couverture que lui procure l'homme de paille.
3. Une société écran est une société fictive, créée pour dissimuler les transactions financières d'une ou de plusieurs autres sociétés. ? (Wikipédia).
D'autre part, les participations croisées avec l'aide d'une société écran ne sont pas interdites, ce qui affaiblit la réglementation précédente. .
(Encyclopædia Universalis)
4. (Finance) Une société écran est une société fictive, créée pour dissimuler les transactions financières d'une ou de plusieurs autres sociétés.
Tout passait par les banques anglo-saxonnes. [...] les sociétés écrans se trouvaient à Hong Kong, aux îles Caïman et dans d'autres paradis fiscaux des Caraïbes et d'ailleurs.
(Jean-Paul Gremilliet, Une carrière, ch. 41, p. 215 ; L'Atelier de la Mémoire, 2014.)
D'autre part, les participations croisées avec l'aide d'une société écran ne sont pas interdites, ce qui affaiblit la réglementation précédente. .
(Encyclopædia Universalis)
5. Une société écran est une société fictive, créée pour dissimuler les transactions financières d'une ou de plusieurs autres sociétés.
6. (Imprimerie) Première page d'un feuillet, par opposition au verso, qui est la seconde page, celle qui se trouve au revers du feuillet.
Il est inscrit, enregistré folio 30, recto.
Il faut refaire tout le recto de ce feuillet.
7. La page destinée à être vue en premier est appelée recto, c'est la page de droite. La page opposée au recto est appelée verso, c'est la page de gauche. Dans les ouvrages réunissant plusieurs feuillets (livres, magazines, etc.), le « recto » est aussi appelé « belle page », car c'est la page la mieux perçue par le lecteur, et le verso est également appelé « fausse page ». Si l'ouvrage se lit de gauche à droite, les belles pages sont les pages de droite, et portent des numéros impairs. Le titre et le début d'un chapitre se trouvent généralement en « belle page ».
8. Foliation : numéroter les feuilles d'un livre mais au recto uniquement.
9. En numismatique, l'avers, (ou le droit,) est le côté de la monnaie portant l'effigie ou le motif essentiel. En langage courant, il s'agit du côté face,. L'opposé de l'avers est le revers.
10. (France) (Signification officielle) Partie de la scolarité regroupant l'école maternelle, l'école élémentaire, et précédant le collège.
11. (Québec) (Signification officielle) Partie de la scolarité précédant l'école secondaire.
