1. Action de piller, ou dégât qui en est la suite.
A la suite du terrible massacre des juifs de la péninsule ibérique, en 1391, le Call de Perpignan fut envahi, en 1392, et devint la proie du meurtre et du pillage.
(Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937, p.129)
J'aimais à relire la vie des flibustiers, [?], maîtres de ces parages au XVIIe et au XVIIIe siècle, avant que l'entente franco-anglaise mît fin à cette guerre de pillage et de course.
(Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
Après mille scènes de pillage, de vexations, d'attaques à main armée, leur caravane arrive en octobre dans le vaste oasis de l'Asben.
(Jules Verne, Cinq semaines en ballon, ch. 4, J. Hetzel et Cie, Paris, 1863, p. 19)
Quelques maisons furent livrées au pillage, et trois des principaux habitants fusillés par jugement du conseil de guerre, exécution qui ne violait pas la capitulation, dont les clauses avaient mis les Véronais à la discrétion des vainqueurs.
(Abel Hugo, France militaire. Histoire des armées françaises de terre et de mer de 1792 à 1837, Paris : Delloye, 1838, vol.2, p.182)