1. Variable dont les mesures sont soumises à des erreurs, à des fluctuations intrinsèques ou à des fluctuations d'échantillonnage. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
2. (Probabilités) Variable dont la valeur dépend d'un aléa. Plus rigoureusement, il s'agit d'une application définie sur l'ensemble des résultats possibles d'une expérience aléatoire.
3. En théorie des probabilités, une variable aléatoire est dite discrète lorsque l'ensemble des valeurs qu'elle peut prendre est fini ou infini dénombrable.
4. En théorie des probabilités, une variable aléatoire est une variable dont la valeur est déterminée après un tirage aléatoire. Par exemple, la valeur d'un dé entre 1 et 6, le côté de la pièce dans un pile ou face, etc. C'est une application définie sur l'ensemble des éventualités, c'est-à-dire l'ensemble des résultats possibles d'une expérience aléatoire. Ce furent les jeux de hasard qui amenèrent à concevoir les variables aléatoires, en associant à une éventualité (résultat du lancer d'un ou plusieurs dés, d'un tirage à pile ou face, d'une roulette, etc.) un gain. Cette association éventualité-gain a donné lieu par la suite à la conception d'une fonction de portée plus générale. Le développement des variables aléatoires est associé à la théorie de la mesure.
5. En théorie des probabilités, une variable aléatoire est une variable dont la valeur est déterminée après la réalisation d'un phénomène, expérience ou événement, aléatoire. En voici des exemples : la valeur d'un dé entre 1 et 6 ; le côté de la pièce dans un pile ou face ; le nombre de voitures en attente dans la 2e file d'un télépéage autoroutier ; le jour de semaine de naissance de la prochaine personne que vous rencontrez ; le temps d'attente dans la queue du cinéma ; le poids de la part de tomme que le fromager vous coupe quand vous lui en demandez un quart ; etc. Notez bien que les situations réalistes présentées ici ne sont pas nécessairement celles de la réalité, le point important étant qu'elles sont ici placées dans le cadre de la théorie des probabilités.
6. En théorie des probabilités, une variable aléatoire est une variable dont la valeur est déterminée après la réalisation d'un phénomène, expérience ou événement, aléatoire.
7. (Musique) Instrument de percussion digitale originaire d'Iran, composé d'une seule pièce de bois creuse de forme cylindrique dont l'ouverture est fermée par une peau tendue.
Depuis dix ans, on assiste au retour en force du tambourin daf qui double le zarb dans beaucoup d'ensembles.
(Yann Richard, Entre l'Iran et l'occident ? Adaptation et assimilation des idées et techniques occidentales en Iran, 1989)
8. Le tombak (en persan : ????-????) - nommé aussi zarb, tonbak, donbak, dombak - est un instrument de percussion à excitation digitale originaire d'Iran (Perse). Le nom « tombak » viendrait des sons produits par les frappes principales : tom (au centre de la peau, grave) et bak (au bord, et aiguë). Il appartient à la famille des membranophones et plus précisément des tambours en gobelet répandus en Asie, Europe de l'Est et Afrique. Bien qu'il y ait des similarités entre tous les instruments à percussion de cette forme, les techniques utilisées pour jouer le tombak sont probablement les plus élaborées.
9. En théorie des probabilités, une variable aléatoire est une application définie sur l'ensemble des éventualités, c'est-à-dire l'ensemble des résultats possibles d'une expérience aléatoire. Ce furent les jeux de hasard qui amenèrent à concevoir les variables aléatoires, en associant à une éventualité (résultat du lancer d'un ou plusieurs dés, d'un tirage à pile ou face, d'une roulette, etc.) un gain. Cette association éventualité-gain a donné lieu par la suite à la conception d'une fonction de portée plus générale. Le développement des variables aléatoires est associé à la théorie de la mesure.
10. La notion de variable aléatoire réelle est utilisée dès que le résultat d'une expérience aléatoire est quantifiable. Elle est née de considération sur les jeux où à chaque jeu pouvait être associé un gain (= somme empochée - mise). La question était de savoir comment répartir de façon juste les mises en cas d'arrêt forcé en cours de partie. Blaise Pascal contribua grandement à la fonder.