(Militaire) Action ou manière de défendre une place, un poste, etc., de s?y défendre.Belgrade est une ville ouverte, car son ancienne forteresse turque ne peut pas être considérée comme un ouvrage de défense moderne. ? (Rodolphe Archibald Reiss, Comment les Austro-Hongrois ont fait la guerre en Serbie, 1915)La ville avait la réputation d?être imprenable ; son château s?élevait à l?est et la ceinture de murailles qui entourait la cité venait s?y attacher; des portes, des bastions, des fossés formaient un respectable appareil de défense. ? (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1895)Nos grandes places de guerre, Strasbourg et Metz, les véritables boulevards de notre défense, n'avaient été ni armées, ni approvisionnées. ? (Général Ambert, Récits militaires : L'invasion (1870), p.124, Bloud & Barral, 1883)Après le « mur murant » de 1786, les fortifications de 1840 ont été démolies pierre par pierre, et la terre de leurs glacis à servi à combler les fossés de défense dont on l'avait tirée. ? (Jean Valmy-Baysse, La curieuse aventure des boulevards extérieurs, Éditions Albin-Michel, 1950, p.243)Faire une belle défense, résister longtemps à quelque proposition, à quelque sollicitation, etc.