1. Composé oxygéné de l'azote à structure radicalaire instable, de formule NO. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
2. Molécule radicalaire de formle NO. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
3. (Chimie) Synonyme de monoxyde d'azote.
4. Un oxyde d'azote est un composé chimique formé d'oxygène et d'azote.
5. nitrous oxide. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
6. Le protoxyde d'azote, également appelé oxyde nitreux, hémioxyde d'azote ou encore gaz hilarant, est un composé chimique de formule N2O. C'est un gaz incolore, à l'odeur et au goût légèrement sucrés. Il est utilisé en anesthésie, chirurgie, odontologie et comme adjuvant en mélange équimolaire avec de l'oxygène, pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques. On l'appelle « gaz hilarant » en raison de son effet euphorisant à l'inhalation, d'où son usage récréatif comme hallucinogène. Il est également utilisé comme comburant pour accroître la puissance des moteurs en compétition automobile, ainsi qu'avec l'acétylène H-C?C-H pour certains appareils d'analyse (spectrométrie d'absorption atomique). Dans l'air, il est présent à l'état de traces mais aujourd'hui présent en excès (1/3 du N2O de l'atmosphère provient de l'épandage de lisier et d'engrais azotés ; il est alors un polluant de l'air, car puissant gaz à effet de serre (298 fois plus puissant que le CO2) et destructeur de la couche d'ozone.
7. (Chimie) (Médecine) Protoxyde d'azote utilisé en anesthésie.
PROTOXYDE D'AZOTE [?]Découvert par Priestley en 1772. Ses propriétés anesthésiques ont été découvertes par Davy en 1800 ; ce savant le désigna sous le nom de gaz hilarant.
(Cousin & Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)
8. Le monoxyde d'azote , oxyde azotique , oxyde nitrique ou NO est un composé chimique formé d'un atome d'oxygène et d'un atome d'azote. C'est un gaz dans les conditions normales de température et de pression. C'est un important neurotransmetteur chez les mammifères ; dissous, il franchit facilement les membranes biologiques et passe d'une cellule à l'autre, constituant un « messager paracrine idéal » .