1. Le courant nyingma (tibétain : ???????, Wylie : rNying-ma, pinyin tibétain : nyinngma) ou nyingmapa ( Wylie : rNying-ma-pa, littéralement : ancienne école) est la plus ancienne des traditions du bouddhisme tibétain, adaptation à la culture tibétaine du vajrayana (ou bouddhisme tantrique) comme l'indique son nom (nyingma : ancien ; pa : courant). Elle reprend certains textes du chamanisme bön, religion traditionnelle tibétaine, voire en plagie sciemment certains.
2. Ses différentes lignées remontent à Padmasambhava, fondateur du vajrayana, qui selon une des traditions apporta le bouddhisme au Tibet, le « Pays des neiges », et se basent sur la première vague de traductions du sanskrit en tibétain des tantras et des sutras. Les autres courants (principalement kagyüpa, sakyapa et gelugpa), basés sur des traductions ultérieures, sont parfois regroupés sous le terme sarmapa (nouvelle tradition). Les nyingmapa sont parfois appelés bonnets rouges , terme qui peut aussi s'appliquer aux sakya et aux kagyu, les gelugpa étant les seuls à porter des bonnets jaunes.
3. Le courant nyingma ( tibétain : ???????, Wylie : rNying-ma, pinyin tibétain : nyinngma ) ou nyingmapa ( Wylie : rNying-ma-pa, littéralement : ancienne école ) est la plus ancienne des traditions du bouddhisme tibétain, adaptation à la culture tibétaine du vajrayana ( ou bouddhisme tantrique ) comme l'indique son nom ( nyingma : ancien ; pa : courant ) . Elle reprend certains textes du chamanisme bön, religion traditionnelle tibétaine, voire en plagie sciemment certains[2].