1. Contradiction réelle ou apparente entre deux lois, deux principes, deux idées.
Cette antinomie embarrasse tous les jurisconsultes.
Concilier des antinomies.
Une « guerre propre » ou un « enfer paradisiaque » sont des exemples d'antinomies.
Pour bien saisir l?analyse développée par Weber en réponse à ces deux questions, nous examinerons, dans un premier temps, l?antinomie, tout à fait capitale, de la rationalité formelle et de la rationalité matérielle.
(Michel Coutu, Max Weber et les Rationalités du Droit, 1995)
2. Paradox est un système de gestion de base de données relationnelles (SGBDR) édité par Corel. Depuis la version 8, Paradox fait partie de la suite bureautique Wordperfect Office Pro. Paradox est donc un SGBD relationnel présentant une approche bureautique et n'est pas conçu pour supporter de très grandes bases de données opérationnelles sur de vastes réseaux, ces utilisations étant confiées aux serveurs SQL distant, auxquels Paradox offre l'accès au-travers des diverses interfaces supportées par le BDE.
3. Une antinomie , qui vient du grec ancien « ????????? » ( « antinomía » ) signifiant une « contradiction entre les lois » , est un type de contradiction logique, dans lequel des déclarations mutuellement contradictoires sont tout aussi bien fondées et prouvées ( dans le cas des systèmes formels ) . Elle ne doit pas être confondue avec l'antonymie ( symétrie d'opposition entre deux termes contraires ) .
4. Opposition entre deux normes, concepts ou assertions qui semblent irréconciliables.
Concilier des antinomies.